lundi 14 septembre 2015

L'Alliance de Dieu (8)

Je dis à l'Éternel : 

" Mon Refuge et ma Forteresse, 

Mon Dieu en Qui je me confie !  "

Psaume 91


Aujourd'hui, c'est le Jour de la Fête des Trompettes dans le Calendrier de DieuC'est le premier Jour du 7ème mois de l'année qui annonce les Fêtes des Tabernacles, ou Fête du " Rétablissement de Toutes Choses ". Nous ne pouvons les célébrer seulement à cause de l'oeuvre de la Croix. Le Père a abandonné le Fils, c'est-à-dire, qu'Il a "oublié " pendant les trois heures sombres les clauses de l'Alliance éternelle que le Père et le Fils avaient établie entre eux : Souvenons-nous en ! Christ a goûté cela - à notre place - pour que nous ne le goûtions jamais !


Il y a un psaume - le psaume 22 -

que tout le monde connaît  

car notre Seigneur Jésus-Christ l'a crié 

dans Sa Souffrance sur la Croix.


 Mon Dieu ! Mon Dieu ! 

Pourquoi m'as-tu abandonné ? 

Et T'éloignes-tu sans me secourir, sans écouter mes plaintes ? 

 Mon Dieu ! 
Je crie le jour, et Tu ne réponds pas
La nuit, et je n'ai point de repos. 

Pourtant Tu es le Saint
Tu sièges au milieu des louanges d'Israël ! 

 En Toi se confiaient nos pères ; 
Ils se confiaient, et Tu les délivrais. 
 Ils criaient à Toi, et ils étaient sauvés ; 
Ils se confiaient en Toi, et ils n'étaient point confus...

Et moi, je suis un ver et non un homme, 
L'opprobre des hommes et le méprisé du peuple. 

Tous ceux qui me voient se moquent de moi, 
Ils ouvrent la bouche, secouent la tête : 
"  Recommande-toi à l'Éternel ! "
L'Éternel le sauvera, 
Il le délivrera, puisqu'Il l'aime...


Oui, Tu m'as fait sortir du sein maternel, 
Tu m'as mis en sûreté sur les mamelles de ma mère ; 
 Dès le sein maternel j'ai été sous Ta garde, 
Dès le ventre de ma mère tu as été Mon Dieu.

 Ne T'éloigne pas de moi quand la détresse est proche, 
Quand personne ne vient à mon secours ! 


De nombreux taureaux sont autour de moi, 
Des taureaux de Basan m'environnent. 
Ils ouvrent contre moi leur gueule, 
Semblables au lion qui déchire et rugit. 

 Je suis comme de l'eau qui s'écoule, 
Et tous mes os se séparent ; 
Mon cœur est comme de la cire, 
Il se fond dans mes entrailles. 

 Ma force se dessèche comme l'argile, 
Et ma langue s'attache à mon palais ; 
Tu me réduis à la poussière de la mort. 

Car des chiens m'environnent, 
Une bande de scélérats rôdent autour de moi, 
Ils ont percé mes mains et mes pieds.

 Je pourrais compter tous mes os. 

Eux, ils observent, ils me regardent; 
 Ils se partagent mes vêtements, 
Ils tirent au sort ma tunique. 


 Et toi, Éternel, ne t'éloigne pas !
Toi qui es ma Force, viens en hâte à mon secours ! 

Protège mon âme contre le glaive,
Ma vie contre le pouvoir des chiens

Sauve-moi de la gueule du lion,
Délivre-moi des cornes du buffle



 Je publierai Ton Nom 

parmi Mes frères,
Je Te célébrerai 

au milieu de l'Assemblée ! 


 à suivre...